Rainy

dreamout

Dimanche 12 août 2012 à 15:08

 

Je suis dans la boucherie du coin de ma rue. Le Boucher monsieur Gallot, qui me connait très bien me sert sans me demander ce que je désire. Il met sur la balance un cœur de bœuf et une cervelle d'agneau. Comme je proteste il me répond d'un ton réprobateur: alors quoi? Je croyais que vous aimiez ça. Votre cœur est bien comme le cœur de se pauvre bœuf, exsangue et froid, et votre cervelle est bien comme celle de ce pauvre agneau, petite et dans une barquette. Je rougit et proteste. Il continue, alors quoi? Que voulez vous aujourd'hui? Des cravates. Voilà, ce jour là je devais acheter deux cravates pour l'anniversaire de mon père et mon grand père qui dans mon rêve étaient nées le même jour.

Je boucher remets alors la cervelle dans le présentoir mais garde le cœur du pauvre bœuf et commence à sortir toutes sortes de cravates homme de dessous le comptoir. Avant de me les faire essayer il les passe autour du cœur du bœuf. Puis commence une longue partie d'essayage de cravates. Il en sorte de partout, de toutes les tailles et de toutes les couleurs. je dois les essayer une à une et dire si elle sont confortable ou pas. Puis je dois les ranger par couleur. Sur ces entre faits entre la femme du boucher. Elle a les ongles fait à l'américaine. Elle porte une combinaison collante sur laquelle est imprimées des veines et des artères représentant son système sanguin. Elle porte une cravate avec le même motif et une cravate avec un motif de squelette sur fond noir. Je dis que c'est ces

Samedi 11 août 2012 à 15:08

 

Je suis dans une prairie, très verte, qui s'étend à perte de vue. Il n'y à rien autour qu'un bureau d'écolier de lycée, auquel je suis assise. Je dois repasser mon bac parce que j'ai échoué à l'épreuve d'informatique. Je suis désespérée. Je détestais le prof d'info à cette époque. Devant moi apparaît un type en queue de pie noir avec un attaché-case et un très long morceau de papier qui tombait en rouleau sur le sol. Le type est en fait mon ex-prof d'art plastique. Il commence par décrire un tableau de Canaletto mais s'arrête en plein milieu de sa phrase pour me demander comment on épelle Norton. Je le regarde interdite, tandis que le rouleau s'enroule sur lui même puis disparaît. Mr Langlois continu. Il explique que je dois acheter Norton antivirus. Acheter Norton firewall répète-t-il sans fin. Un écureuil arrive et ronge le rouleau qui est réapparut dans ses pattes, il s'arrête puis déroule entièrement ce qu'il en reste et le lit à voix haute. Il n'y a qu'une seule phrase d'écrite: Vous devez, mademoiselle, acheter Norton firewall, oui, acheter Norton firewall. Vous devez, mademoiselle, acheter Norton firewall, oui, acheter Norton firewall. Vous devez, mademoiselle, acheter Norton firewall, oui, acheter Norton firewall, oui, acheter Norton antivirus...etc.  De mon côté j'essaye de me concentrer sur mon devoir d'informatique, qui c'est transformé en devoir d'éco, matière que je n'ai jamais eu au bac. Mais je passe le test avec brio et l'examinateur en la personne de mon ex-prof d'art plastique me propose une place chez Norton...et je ne saurais jamais comment je quitte la prairie puisque mon réveil sonne, à 6h parce que j'avais oublié de changer le réglage...grrrr!

Vendredi 10 août 2012 à 15:04

 

La scène se passe dans un immeuble de la banlieue de Lyon, dans un des ces quartiers fait de béton et sans aucun arbres que des petit bout de rien du tout brûlé parle soleil. Dans la salle à manger pourtant petit se trouve une très grande table a laquelle se trouve attablés un tas de convive que je ne connais pas. Mais en bout de table se trouve Jean Lefèbvre. Plus tard dans l'après midi, dans cette même banlieue, je me retrouve en train du faire du roller blade en compagnie de Jacques Chirac.  Sur ces entre faits arrive le bonhomme Michelin. là je dois compter ses pneus, mais pour une raison que j'ignore je ne sais plus compter. Il me harcèle de question à propos des pneus hiver, des pneus été, puis de nouveau des pneus hiver. je me rappelle à se moment de mon rêve que je n'ai pas changer les pneu de ma voiture et que nous sommes déjà en novembre. Je m'évanouie et me réveille (toujours dans mon rêve) chez le garagiste qui me sermonne à propos de mes pneu hiver. Le bonhomme Michelin réapparaît, cette fois il est gentil avec moi et me console. Il me dit que ce n'est pas si grave que nous ne sommes qu'en novembre et qu'il na pas encore neigé. Que j'ai encore du temps amis qu'il ne fait pas que je traîne quand même. Là il me demande de recompter ses pneus, cette fois j'y arrive mais chaque fois que j'en touche un il devient de couleur rouge, si bien qu'à la fin bibendum est rouge sang. Cela ma fait peur et je me réveille...on est en été, pas besoin de changer mes pneus!!

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